Apprendre à dessiner sur Google Maps permet de visualiser des itinéraires et de mettre en valeur des zones utiles. Cet apprentissage combine gestes simples, règles de limites et choix d’outils adaptés à chaque usage.
Les étapes essentielles incluent l’ouverture de Google My Maps, la sélection d’un calque et le tracé précis. Ces étapes sont listées immédiatement ci-dessous.
A retenir :
- Ouvrir My Maps et choisir un calque
- Tracer points, lignes, formes selon le besoin
- Personnaliser couleurs, épaisseurs, et attributs
- Exporter ou partager la carte avec collaborateurs
Dessiner une ligne dans Google My Maps pas à pas
Après ces repères, commencez par ouvrir Google My Maps sur votre navigateur, connecté à votre compte Google. Selon Google Support, My Maps offre des outils de dessin accessibles directement depuis l’interface web.
Sur ordinateur, créez une nouvelle carte, puis ajoutez un calque pour organiser vos tracés. Cette méthode évite d’encombrer une même couche avec des données hétérogènes.
Sélectionnez l’outil « Tracer une ligne » pour dessiner des parcours ou des formes fermées avec précision. En doublant un clic vous terminez une forme et vous pouvez immédiatement nommer l’élément.
Avant de tracer, vérifiez les limites techniques et adaptez votre projet en conséquence. Ce contrôle prépare l’étape suivante consacrée à la modification et à la personnalisation.
Tableau des limites techniques de Google My Maps :
Limite
Valeur
Remarque
Objets (lignes, formes, lieux)
10 000
Limite globale par carte
Points totaux (toutes formes)
50 000
Inclut sommets et marqueurs
Cellules dans tableaux de données
20 000
Limite pour l’import de feuilles
Éléments par calque
2 000
Gestion par couches recommandée
Intitulé des actions rapides :
- Choisir calque puis outil ligne
- Cliquer chaque sommet pour définir l’angle
- Double-cliquer pour finaliser la forme
« J’ai tracé un itinéraire de randonnée en une demi-heure, et partagé la carte avec mon groupe. »
Marie D.
Préparer la carte et les calques
Ce volet décrit l’organisation des calques afin d’améliorer la lisibilité de vos tracés et marqueurs. Selon Google, limiter le nombre d’objets par calque facilite la mise à jour collaborative.
Créez des calques thématiques, par exemple « itinéraires » et « points d’intérêt », pour séparer types de données. Cette pratique réduit les risques d’erreur quand plusieurs personnes éditent la même carte.
Liste de contrôle calques :
- Nom clair du calque :
- Couleur associée au thème :
- Ordre des calques logique :
Tracer le tracé et finaliser
Ce point explique l’usage des outils de tracé et la complétion de formes fermées ou ouvertes. Selon My Maps, chaque clic définit un sommet, déplaçant la carte avec un appui long sur la souris.
Après avoir dessiné, nommez l’objet et ajoutez une description pour contextualiser le tracé auprès des collaborateurs. Une bonne description facilite l’exploitation des données cartographiques.
Actions de finition :
- Nommer l’objet et ajouter description :
- Enregistrer les modifications immédiatement :
- Vérifier l’affichage sur mobile :
« J’utilise My Maps pour planifier nos tournées, la clarté des calques a transformé notre organisation. »
Lucas P.
Personnaliser formes et attributs dans Google My Maps
La personnalisation suit naturellement le tracé initial et elle améliore immédiatement la lecture de la carte par les destinataires. Selon Google Support, les options de style incluent couleurs, épaisseurs et icônes pour chaque élément.
Attribuer des couleurs aide à distinguer catégories d’itinéraires ou zones d’intérêt sans recourir à des légendes complexes. Cette clarté est utile pour la préparation de présentations ou l’impression de cartes.
Options de personnalisation disponibles :
- Couleurs des lignes et remplissages :
- Épaisseur et opacité des traits :
- Icônes et photos attachées :
Modifier un style et ajouter médias
Ce point détaille comment appliquer des styles à une ligne ou une forme pour une lecture immédiate par l’utilisateur. Selon My Maps, il est possible d’ajouter des photos et des vidéos pour enrichir un lieu précis.
Ajouter un média rend une carte plus informative, notamment pour des visites guidées ou des dossiers de terrain. Pensez à optimiser la taille des fichiers avant l’upload pour garantir la fluidité de l’affichage.
Outil
Dessin libre
Collaboration
Idéal pour
Google My Maps
Oui, interface simple
Partage facile
Cartes de projets légers
Mapbox
Oui, fort degré de personnalisation
Via API
Développeurs et applications web
OpenStreetMap
Édition communautaire
Collaboratif public
Données libres et contributions
QGIS
Outils avancés de dessin
Export/partage via fichiers
Analystes SIG locaux
ArcGIS
Fonctionnalités professionnelles
Collaboration entreprise
Projets institutionnels
Canva Maps
Modèles design
Travail en équipe simplifié
Visuels marketing
Intitulé pour la gestion des attributs :
- Attributs descriptifs standards :
- Champs personnalisés pour analyses :
- Liens et pièces jointes possibles :
« L’équipe a adopté les icônes colorées, et la communication visuelle s’en est trouvée grandement améliorée. »
Claire R.
Ajouter des données tabulaires et importer
Ce point explique l’import de feuilles de calcul pour générer points et attributs automatiquement sur la carte. Selon Google, les tableaux importés ne doivent pas excéder la limite de cellules pour garantir l’import réussi.
Organisez vos colonnes avec des noms clairs avant l’import afin que My Maps associe correctement latitude et longitude. Une bonne préparation réduit les erreurs et accélère la mise en carte.
Étapes d’importation :
- Préparer feuille avec colonnes coordonnées :
- Vérifier format CSV ou Google Sheets :
- Importer puis corriger éventuelles erreurs :
Exporter, partager et alternatives à Google My Maps
Ce volet suit la personnalisation et il aborde l’ouverture des données et le partage selon différents formats d’usage. Selon My Maps, il est possible d’exporter en KML pour intégrer d’autres outils SIG ou plateformes cartographiques.
Partager une carte peut se faire en lecture seule ou en mode collaboratif, en gardant le contrôle des droits d’édition. Ce réglage est central pour travailler avec des équipes externes ou des clients.
Intitulé pour les formats d’export :
- Export KML pour SIG et sites :
- Partage via lien sécurisé :
- Impression en PDF pour annexes :
Exporter et partager avec équipes
Ce point détaille les formats d’export utiles selon vos besoins, et les règles de partage à respecter. Selon Google Support, le KML reste un format interopérable pour la plupart des logiciels SIG.
Pour une collaboration pérenne, privilégiez l’hébergement cloud des sources de données et des feuilles associées. Un bon paramétrage d’accès évite les pertes et les versions contradictoires.
« Je recommande My Maps pour les projets simples et les présentations, sa prise en main est rapide. »
Sébastien M.
Alternatives et intégrations professionnelles
Ce point compare brièvement autres solutions pour des besoins plus avancés ou plus design. Pour des analyses approfondies, des logiciels comme QGIS ou ArcGIS offrent des outils analytiques supérieurs.
Des options comme Mapbox ou Canva Maps conviennent selon le niveau technique et l’objectif final de la carte. L’intégration entre plateformes se fait souvent via KML ou API dédiées.
Comparaison rapide des usages :
- QGIS et ArcGIS pour analyses SIG avancées :
- Mapbox pour cartes sur mesure et développeurs :
- Canva Maps pour présentations visuelles :
Pour terminer, vérifiez toujours l’usage des données et le respect des licences avant diffusion publique, surtout avec OpenStreetMap ou données externes. Cette précaution garantit la conformité et protège vos usages.
Source : Google, « Tracer une ligne ou une forme », Google Support ; Google, « My Maps – À propos », Google Maps ; HardReset.info, « Comment dessiner une forme sur Google Maps », HardReset.info.