La synchronisation verticale, souvent nommée VSync, coordonne l’affichage entre carte graphique et écran pour lisser les images. Son objectif principal est d’éviter le déchirement visuel quand le GPU produit des images plus vite que le moniteur. Les joueurs et les créateurs évaluent cette option selon leur matériel et leurs priorités visuelles.
Les implémentations varient selon les GPU, pilotes et écrans disponibles sur le marché grand public. NVIDIA, AMD et Intel proposent des approches distinctes, souvent complétées par G-Sync ou FreeSync selon les fabricants d’écrans. Ces éléments essentiels conduisent à un bilan pratique pour le lecteur et mènent vers A retenir :
A retenir :
- Réduction du déchirement d’écran sur configurations GPU-moniteur désynchronisées
- Limitation des images par seconde alignée sur la fréquence de rafraîchissement
- Amélioration de la cohérence d’image lors de scènes à mouvement rapide
- Compatibilité variable selon carte graphique, écran, pilotes et paramètres du jeu
Pour comprendre le fonctionnement de VSync, examinons la boucle d’affichage GPU et ses effets, en terminant sur les compromis perceptuels qui préparent le choix d’options
Ce point relie le principe général à la mécanique interne : Principe technique de la synchronisation verticale
La carte graphique rend des images en mémoire et les envoie au moniteur lors d’un rafraîchissement disponible. Lorsque VSync est activé, le GPU attend un front de balayage ou l’intervalle de rafraîchissement avant d’envoyer la nouvelle image. Selon NVIDIA, ce mécanisme évite que différentes lignes d’écran affichent des images différentes simultanément.
Sans VSync, l’écran peut afficher des portions d’images différentes, phénomène appelé déchirement, perceptible surtout sur écrans 60 Hz. Selon AMD, l’activation de la synchronisation verticale peut limiter les images par seconde en les arrimant au taux de rafraîchissement. Selon Intel, les pilotes contemporains tentent d’optimiser ce comportement selon les conditions de charge GPU.
Élément
Support
Remarque
NVIDIA
VSync, G‑Sync
G‑Sync pour moniteurs compatibles, réduction de déchirement
AMD
VSync, FreeSync
FreeSync pour écrans Adaptive‑Sync, large compatibilité
Intel
VSync, Adaptive‑Sync
Support croissant sur GPU intégrés et pilotes récents
Fabricants d’écrans
Asus, Acer, Dell, BenQ, LG, Samsung
Proposent modèles avec FreeSync ou G‑Sync Compatible
Conseils rapides :
- Activer VSync si déchirement perceptible et FPS stables
- Désactiver si la latence est prioritaire et FPS élevés
- Privilégier G‑Sync ou FreeSync quand l’écran le supporte
Ce sous-chapitre relie matériel et pilotes : Compatibilité matérielle et exigences
Le comportement de VSync dépend fortement du GPU, du pilote et du moniteur utilisé par l’utilisateur. Les cartes NVIDIA et AMD intègrent des réglages différents dans leurs panneaux de contrôle, tandis qu’Intel propose des options dans ses pilotes intégrés. Les fabricants d’écrans comme Asus, Acer, Dell, BenQ, LG et Samsung listent la compatibilité FreeSync ou G‑Sync sur leurs fiches techniques.
Pour tirer parti de l’adaptive sync, le moniteur doit supporter le standard VESA ou être vendu comme G‑Sync Compatible. Selon AMD, FreeSync repose sur Adaptive‑Sync, tandis que selon NVIDIA, G‑Sync inclut des modules propriétaires ou la certification G‑Sync Compatible. Vérifier la fiche technique de l’écran évite les mauvaises surprises avant achat.
« J’ai activé VSync sur mon écran 144 Hz et le déchirement a quasiment disparu sans perte notable de fluidité »
Lucas D.
Ensuite, l’évaluation pratique des avantages et inconvénients éclaire quand activer VSync, puis abordera les alternatives adaptatives
Ce point précise les bénéfices perçus : Avantages visuels de VSync
VSync supprime généralement le déchirement d’image quand le GPU produit davantage d’images que le moniteur n’en affiche. Ce comportement rend les scènes de mouvement plus cohérentes, appréciable en simulation et en jeu solo immersif. Les créateurs de contenu bénéficient d’une sortie vidéo plus stable lors de captures en temps réel.
En configuration 60 Hz, l’impact est visible et souvent préféré pour le visionnage vidéo, tandis qu’en 144 Hz l’effet peut être plus discret. Selon NVIDIA, dans certains jeux compétitifs, l’activation de VSync peut augmenter la latence entrée-sortie. Ce compromis conduit naturellement à considérer des modes adaptatifs ou des solutions matérielles.
Mode
Déchirement
Saccades
Latence
VSync Off
Élevé
Faible
Faible
VSync On
Faible
Possible si FPS chutent
Élevée
Adaptive VSync
Faible au-dessus du refresh
Réduit
Variable
G‑Sync / FreeSync
Faible
Réduit
Faible
Comparaison rapide :
- VSync On pour stabilité visuelle sur matériel ancien
- Adaptive pour compromis entre latence et stabilité
- G‑Sync/FreeSync si l’écran et la carte le supportent
« Sur mon portable Intel, VSync a réduit certains artefacts, mais la latence était palpable en compétition »
Marie L.
Ce sous-point relie expérience et solutions : Inconvénients et situations problématiques
L’un des principaux inconvénients de VSync réside dans l’augmentation possible de la latence d’entrée, perceptible pour les joueurs compétitifs exigeant réactivité. Lorsque le framerate descend sous la fréquence du moniteur, des saccades peuvent apparaître malgré l’absence de déchirement. Les pilotes GPU tentent d’atténuer ces effets, mais la solution idéale dépend du contexte d’utilisation.
Les utilisateurs sur configurations avec GPU très puissants et écrans non adaptatifs peuvent préférer désactiver VSync pour réduire la latence perceptible. Selon AMD, FreeSync minimise ces problèmes sur écrans compatibles en adaptant dynamiquement la fréquence. Ces constats invitent à une prise de décision basée sur l’usage : compétitif ou immersif.
« Passer à un écran FreeSync m’a permis d’éviter le compromis latence/qualité tout en gardant une image propre »
Paul N.
Enfin, décider d’activer VSync implique d’adapter les réglages à la configuration, puis d’appliquer des conseils pratiques selon le profil utilisateur
Ce passage relie préférences et action : Conseils pour joueurs compétitifs et streamers
Pour les compétiteurs, la priorité reste la latence minimale, il convient donc souvent de désactiver VSync et d’opter pour écrans à haute fréquence. Les accessoires Razer ou périphériques gaming avec faible latence complètent cette approche pour réduire le temps de réponse humain-machine. Si l’écran supporte G‑Sync ou FreeSync, activer l’option adaptive peut être la meilleure solution.
Pour l’overclocking d’écran ou le réglage fin, regarder les paramètres dans les panneaux NVIDIA ou AMD permet d’ajuster le comportement. Les portails de pilotes et forums techniques conservent des guides pour Asus, Acer, Dell et autres fabricants. Ce réglage orienté performance prépare naturellement la configuration pour les joueurs plus orientés qualité d’image.
Paramètres recommandés :
- Compétition : VSync désactivé, FPS limités légèrement en dessous du refresh
- Immersion : VSync activé ou adaptive si disponible sur l’écran
- Création vidéo : VSync activé pour captures sans déchirement
« J’ai basculé entre modes selon le jeu ; parfois FreeSync, parfois VSync, selon le rendu souhaité »
Sophie R.