Le coût des cyberattaques explose. Selon IBM, un niveau record a été atteint par le coût moyen mondial d’une fuite de données, augmentant de 10 % durant 2024. La moindre des erreurs peut tout à fait provoquer une brèche aux sévères conséquences. Lors d’une fusion-acquisition ou d’une transaction importante, cette menace se traduit souvent par un coût caché et imprévu. Les informations sensibles – données financières, secrets industriels ou contrats clients – circulent entre de nombreuses parties prenantes.
En cas de faille, la transaction peut être compromise : tous les termes négociés peuvent être remis en cause. Ces incidents impactent donc directement le succès de l’opération.
Coûts cachés d’une sécurité défaillante
Une sécurité insuffisante lors des transactions peut tout à fait générer des pertes et des dépenses qui sont difficiles à prévoir. Par exemple :
- Une fuite de données peut tout à fait mener à des amendes (RGPD, réglementations sectorielles) ainsi qu’à des coûts de réponse immédiate (enquête, assistance juridique) : un impact financier direct.
- Les acheteurs peuvent éventuellement renégocier le prix ou bien se retirer d’une offre si jamais le risque est jugé comme étant trop élevé : c’est bel et bien la perte de valeur pour la transaction.
- La confiance des clients et partenaires diminue, et l’image de l’entreprise peut être affectée durablement : c’est une atteinte à la réputation.
- Un certain incident cause effectivement des audits supplémentaires qui repoussent immanquablement la clôture. En conséquence, certains frais opérationnels augmentent à cause de tous ces retards et de ces surcoûts.
Ces exemples montrent que l’image de l’entreprise ainsi que le budget de la transaction sont détériorés par les failles ou bien les attaques. Afin de pouvoir éviter de payer le prix fort par la suite, il vaut donc bien mieux anticiper tous les risques.
Le rôle de la data room virtuelle
Pour minimiser tous ces risques, une data room tout à fait sécurisée est ainsi privilégiée par tous les acteurs. L’échange d’informations sensibles entre quelques vendeurs ainsi que quelques acheteurs est accéléré par la mise en place d’une data room M&A dédiée. Une dataroom virtuelle centralise dans un espace numérique sécurisé tous les documents confidentiels d’une transaction. Seules quelques-unes des parties autorisées ont accès à tout cet espace.
Les fonctions importantes d’une salle de données virtuelle comprennent souvent :
- Chaque utilisateur a des droits définis : accès strictement contrôlés. Certains dossiers ne peuvent être vus que par les personnes qui sont mandatées.
- Journalisation de chacune des actions (consultation, téléchargement, impression) : une traçabilité tout à fait complète. L’origine même de la fuite peut être retracée, elle. Cela est tout à fait possible en de tels cas de problème.
- Afin de renforcer la protection, les données sont sécurisées : on les chiffre en transit comme au repos, et l’on met en place une authentification multifactorielle.
- Le processus de due diligence est d’autant plus fluidifié par certaines fonctionnalités collaboratives, notamment par des outils de questions-réponses ainsi que par des annotations. Ces outils permettent d’éviter de multiplier les échanges par e-mail.
La sécurité de toutes les informations qui sont échangées est entièrement garantie grâce à cette dataroom virtuelle et tout risque de fuite accidentelle ou bien malveillante est fortement réduit. Cette organisation conserve tout le processus tout à fait confidentiel et négocie assez rapidement, car elle évite pas mal de déplacements ou transferts de documents papier.
Garantir la sécurité : bonnes pratiques
Outre l’utilisation d’une data room, plusieurs mesures doivent être adoptées pour garantir la sécurité de bout en bout. Par exemple :
- Respect des normes de sécurité : choisir un fournisseur certifié ISO 27001 et SOC 2/3, deux standards reconnus dans la cybersécurité d’entreprise.
- Chiffrement des fichiers : appliquer un cryptage avancé sur les documents confidentiels, aussi bien en stockage qu’en transit (SSL/TLS), pour empêcher toute interception.
- Authentification à plusieurs facteurs : imposer une validation forte (par ex. mot de passe + code mobile) pour chaque accès. Cela limite grandement les risques d’accès non autorisé.
- Gestion des accès et permissions : limiter les droits de consultation selon les rôles (par exemple, un conseiller externe ne voit qu’une partie des documents).
- Surveillance et audit : mettre en place des journaux d’audit et des alertes en cas de comportement suspect (connexion inhabituelle, téléchargements massifs, etc.).
- Sensibilisation des équipes : former les collaborateurs à la manipulation de données sensibles et aux signes de tentatives de fraude pour prévenir les erreurs humaines.
Ces bonnes pratiques diminuent énormément les brèches qui se manifestent éventuellement. La mise en place de protocoles assez solides (normes ISO, chiffrement, etc.) et le fait de tester régulièrement leur efficacité (audits externes, tests d’intrusion, etc.) représentent la priorité de toute entreprise.
Conclusion
La sécurité de l’information est bien un investissement, plutôt qu’un coût. La négligence peut bien multiplier les coûts réels dans chaque transaction de M&A. Les entreprises doivent s’assurer de toujours garantir la sécurité de leurs données critiques en adoptant quelques protocoles robustes et en utilisant une dataroom virtuelle bien conforme car il est préférable de prévenir les pertes financières, juridiques ou d’image que de payer par la suite un prix élevé.