My Maps de Google permet de créer des cartes personnalisées pour marquer des lieux, tracer des itinéraires et partager des informations géographiques. L’outil s’adresse aux voyageurs, aux équipes terrain et aux communicants qui veulent visualiser des données géographiques rapidement.
Pour savoir combien de villes ou de points on peut enregistrer, il faut distinguer la limite par carte, la gestion par calques et les formats d’import. Ces précisions conduisent directement à la section A retenir :
A retenir :
- Limite technique de 10 000 entités par carte My Maps
- Organisation par calques limitée à 10 calques au maximum
- Import depuis feuilles de calcul ou fichiers KML pour lots
- Partage collaboratif avec permissions de lecture et d’édition
Limites techniques et quotas de My Maps
Après ce résumé des points essentiels, examinons les quotas réels imposés par Google sur My Maps pour l’année en cours. Selon Aide My Maps – Google Help, une carte peut contenir un nombre maximal d’entités précisé dans la documentation officielle.
Nombre maximal d’entités par carte et par calque
Selon Aide My Maps – Google Help, le plafond général est de dix mille entités par carte, incluant marqueurs, lignes et polygones. Cette contrainte impose des choix de structuration pour des projets cartographiques d’envergure.
Paramètre
Valeur
Remarque
Maximum par carte
10 000 entités
Inclut marqueurs, lignes et polygones
Nombre de calques
10 calques
Organisation thématique des données
Éléments par calque
≈ 2 000 éléments
Valeur pratique mentionnée dans certains guides
Données importées
Variable
Dépend du format et de la taille du fichier
Ces limites expliquent pourquoi il vaut mieux planifier la structure de la carte avant l’import massif de villes ou de points d’intérêt. Selon My Maps – À propos – Google Maps, l’usage de calques facilite la lisibilité pour les équipes et le public ciblé.
Organiser les données en amont réduit les risques d’atteindre le plafond et facilite la maintenance de la carte. Cette exigence technique prépare naturellement l’approche d’importation et d’organisation que nous détaillerons ensuite.
« J’ai importé trois mille adresses pour un projet local, et la structuration par calques m’a évité de saturer la carte »
Alice D.
Importer et organiser de nombreuses villes dans My Maps
En suivant les limites techniques, les méthodes d’import déterminent la vitesse et la qualité de la carte finale. Selon Aide My Maps – Google Help, l’import depuis des feuilles de calcul reste la méthode la plus pratique pour des volumes moyens à importants.
Formats d’import compatibles et bonnes pratiques
Pour industrialiser un import, il est recommandé d’utiliser Google Sheets ou des fichiers CSV pour conserver les attributs et géocodages. Selon des tutoriels et la documentation, KML et KMZ restent privilégiés pour des polylignes et calques géométriques complexes.
Format
Avantage
Limite
Google Sheets
Synchronisation facile et édition collaborative
Requiert géocodage propre des adresses
CSV
Format simple pour import massif
Colonnes et séparateurs à standardiser
KML
Prise en charge des polygones et styles
Fichier parfois volumineux
KMZ
Compression pratique des KML
Nécessite outils pour l’édition
Conseils de structuration :
- Nommer clairement chaque calque selon le thème
- Limiter le nombre d’attributs inutiles dans le tableur
- Vérifier le géocodage avant import massif
- Fractionner les imports si la carte approche la limite
« J’ai partagé une carte d’itinéraires pour l’équipe, et la segmentation par calques a amélioré la collaboration »
Marc L.
Alternatives, intégrations et usages avancés
Après avoir vu l’import et l’organisation, il est utile de comparer My Maps aux autres services et outils cartographiques. Selon My Maps – À propos – Google Maps, My Maps se positionne comme un outil simple pour la visualisation personnalisée, tandis que d’autres plateformes offrent des fonctions complémentaires.
Comparaison avec Google Maps, Waze et autres solutions
Pour des usages de navigation en temps réel, Waze ou Google Maps restent plus adaptés que My Maps, qui privilégie la personnalisation statique. Les services comme Mappy, ViaMichelin, HERE WeGo et Apple Plans répondent à d’autres besoins en routage et données trafic.
Outils et complémentarité :
- Google Maps pour trafic et directions intégrées
- Waze pour alertes en temps réel
- HERE WeGo pour alternatives hors ligne
- Mapstr pour gestion personnelle de lieux favoris
Cas d’usage avancés et intégration web
My Maps peut être intégré dans des sites via le code d’intégration, utile pour présenter des itinéraires ou catalogues d’emplacements. OpenStreetMap, Cartes IGN et Geoportail peuvent compléter les fonds cartographiques selon les besoins de précision et licences.
Intégration et optimisation :
- Intégrer la carte en iframe pour pages statiques
- Utiliser KML pour conserver styles et couches
- Coupler My Maps et OpenStreetMap pour données libres
- Exporter des extraits pour Cartes IGN en usages spécifiques
« Pour une agence locale, My Maps a servi d’outil de repérage rapide avant déploiement sur SIG professionnel »
Sophie R.
Opinion générale :
- My Maps adapté pour projets collaboratifs simples
- SIG dédiés préférables pour analyses spatiales avancées
- Intégration web facile pour publication et partage
- Choisir l’outil selon l’objectif de la cartographie
« My Maps reste l’outil le plus accessible pour les petites équipes souhaitant publier rapidement »
Benoît G.
Source : « Aide My Maps », Google Help ; « Présentation de Google My Maps », Aide My Maps ; « My Maps – À propos », Google Maps.